La voiture hybride a le vent en poupe dans l’Hexagone. 2019 marquait en effet une augmentation de 17,9% du nombre de ces véhicules vendus aux particuliers, totalisant 125 432 nouvelles unités sur les routes.
Rechargeables et non-rechargeables
Le marché de l’hybride se distingue en deux catégories. D’un côté, les voitures rechargeables, où la grande majorité des modèles disponibles en France provient d’outre-Rhin (BMW, Mercedes, Porsche, Volkswagen), et les non-rechargeables.
C’est cette deuxième classe, où Toyota et Lexus font figures de spécialistes de la technologie à dérivation de puissance, que nous avons choisi de passer en revue aujourd’hui. Un prochain sujet sera consacré aux modèles hybrides rechargeables.
Autonomie « zéro émission » moindre
Les véhicules hybrides non-rechargeables ci-dessus, dotés d’une propulsion thermique (essence ou diesel) couplée à un ou plusieurs moteurs électriques, disposent d’une autonomie « zéro émission » plus limitée que leurs équivalents rechargeables.
Ces voitures ne peuvent généralement parcourir que quelques kilomètres en zone urbaine, la batterie étant rechargée via le moteur thermique et un système d’énergie cinétique lors des phases de freinage.
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